jeudi, octobre 26, 2006

25% des achats d’électronique grand public font d'abord l’objet d’une recherche sur Internet.

Article source :
One Quarter of Consumer Electronics Purchases Researched Online (24/10/06)
http://www.clickz.com/showPage.html?page=3623767

Traduction proposée :
Parmi les 32,5 milliards de dollars dépensés dans le secteur de l’électronique grand public au cours des 6 derniers mois, 25,1 milliards de dollars, soit 77%, ont été initiés par une recherche préalable sur Internet.
Mais 45% de ceux qui cherchent des informations sur Internet n’achètent pas en ligne.
Le temps passé à s'informer en ligne sur un produit varie avec son prix. Alors que le temps moyen de recherche est de 12 heures, pour les téléphones mobiles cette moyenne passe à 9 heures et pour les téléviseurs à 15 heures.
Pour Tim Herbert, directeur de recherche en marketing pour la Consumer Electronics Association, « les consommateurs veulent naturellement prendre des décisions d’achat raisonnées et nous avons montré, avec notre étude, qu’ils vont sur Internet pour approfondir leurs recherches. Pour cela, ils utilisent les moteurs de recherche, les sites des constructeurs, les sites de vente au détail ou les comparateurs de prix ».

L’étude a été réalisée en prenant différents axes de recherche.
Bien que les caractéristiques démographiques de la population sondée soient similaires, l’étude a montré des différences-clés entre ceux qui cherchent des infos par rapport à ceux qui n’en cherchent pas. Les "chercheurs" d’infos peuvent être définis comme des internautes faisant appel à des moteurs de recherche à chaque fois qu’ils veulent s’informer sur un produit. 47% des acheteurs d’électronique grand public sont des "chercheurs".
Etant plus informés sur les produits qu’ils achètent, ils sont plus enclins à leur faire de la publicité verbalement.
Enfin, ils passent en revue plus de marques différentes et ont plus de chances (114% en plus) de répondre favorablement à une publicité en ligne aperçue lors de leurs recherches.

mardi, octobre 17, 2006

49,7% des ménages américains sont des couples mariés

Article source :
49.7% of US households are married couples (15/10/06)
http://www.nytimes.com/2006/10/15/us/15census.html?_r=1&em&ex=1161057600&en=7178555ed9402d2c&ei=5087%0A&oref=slogin

Traduction proposée :
Etre marié implique être en minorité.
Une analyse du New York Times, basée sur les chiffres du dernier recensement, indique que la proportion des couples mariés dans la population n’a cessé de décliner au cours des dernières décennies au point que ces derniers se retrouvent en minorité chez les ménages américains.
The American Community Survey, publié ce mois-ci par le Census Bureau, montre que parmi les 111,1 millions de ménages américains recensés en 2005, 49,7% d’entre eux, soit 55,2 millions, sont des couples mariés, avec ou sans enfants ; Ce pourcentage est juste en dessous de la moyenne et en tout cas en baisse par rapport aux 52% d’il y a cinq ans.
Les chiffres ne signifient pas du tout que le mariage est mort, ni qu’un point de basculement a été atteint. En fait, le nombre de couples mariés n’a jamais été aussi élevé, et la plupart des américains finissent par se marier. Mais le mariage fait face à une forte concurrence. En effet, un nombre croissant d’adultes vivent une part toujours plus longue de leur vie seul, ou vivent avec des partenaires sans être mariés; ceci entraîne des conséquences importantes du point de vue tant économique que social.
Selon Stéphanie Coontz, responsable de l’éducation publique au Council on Contemporary Families, un groupe de recherche à but non lucratif : « ce fait change le poids social du mariage dans l’économie, sur la main d’œuvre, sur les ventes et les locations de maisons et enfin sur le public visé par les industriels dans leurs campagnes publicitaires. Cela remet réellement en question notre façon de régir le travail. »
Alors que le nombre de jeunes adultes et de personnes âgées vivant seul ne cessent d’augmenter, le Professeur Coontz affirme : « notre façon d’utiliser le mariage pour la distribution et la redistribution des allocations est tout à fait anachronique ».
Les couples décident de vivre ensemble pour une multitude de raisons, mais les impératifs immobiliers sont souvent aussi puissants que l’amour.
« Avoir trois brosses à dents et trouver qu’elles sont toujours dans la mauvaise maison quand on se met au lit peut énerver », dit Amanda Hawn, un écrivain de 28 ans qui s’est mise en ménage près de San Francisco avec son petit ami, Nate Larsen, un conseiller immobilier; ceci après avoir longtemps fait la navette entre l'appartement de son ami et celui qu’elle partageait avec une copine. « Emménager ensemble nous a simplifié la vie » dit-elle.

mardi, octobre 10, 2006

L’audience des journaux en ligne augmente

Article source :
http://blogs.zdnet.com/ITFacts/?p=11834

Traduction proposée :
Selon une étude publiée mercredi, le nombre moyen d’internautes ayant visité les sites de journaux américains a augmenté d’environ 1/3 au cours du 1er semestre 2006, alors qu'en même temps, les versions papier de certains des plus importants journaux américains ont connu une baisse d’audience.
L’étude, réalisée par la Newspaper Association of America, souligne l’importance prise par Internet pour les journaux, qui voient leurs versions papier souffrir d'une baisse d’audience et, donc, de revenus publicitaires.

Selon l’étude, le nombre moyen de visiteurs uniques sur les sites de journaux en ligne, au cours du 1er semestre, a atteint plus de 55,5 millions par mois; ce qui dénote une progression par rapport aux 42,2 millions de visiteurs de l’an dernier. Ces chiffres sont ceux de Nielsen/NetRatings, un institut qui mesure l’audience Internet des différents médias.
Selon John Kimball, chef marketing de la Newspaper Association of America, « les sites Internet sont devenus un ajout d’importance pour les versions papier des journaux et attirent une audience de plus en plus élevée ». Selon la même association, le nombre de pages vues sur ces sites de journaux a augmenté d’environ 52% pour le 1er semestre.
Les éditeurs de journaux américains ont eu des difficultés à conserver leurs annonceurs; en effet, nombreux sont les journaux qui perdent des lecteurs au profit d’autres médias, y compris Internet.
L’association déclare qu’il est essentiel de noter que les sites Web des journaux ont amené un lectorat plus jeune. Ainsi, toujours selon le rapport, le site Web du Washington Post a augmenté son taux de couverture parmi les 25-34 ans de plus de 60%. Le taux de couverture combine l’audience hebdomadaire moyenne de la version papier avec l’audience du site Web, à 30 jours.
En tout, selon l’association, les sites Web des journaux ont permis une augmentation de l’audience totale des journaux (papier + site Web), de 15% parmi les 25-34 ans et de 10% parmi les 18-24 ans.